Pour le lancement de son nouvel assistant à la conduite, le message de Coyote est clair : le Nav reste avant tout un assistant d’aide à la conduite, un avertisseur de zone de danger qui adopte le format d’un GPS actuel (écran tactile de 12,7 cm de diagonale/5 pouces) et une fonction de navigation simple mais aboutie.
Côté navigation, le Nav embarque une version allégée du logiciel de navigation CoPilot d’Alk, fonctionnant sur une cartographie fournie par Here (ex-Navteq) s’affichant en 2D et en 3D. Les menus sont juste un peu plus simples, mais le module de navigation devrait assurer un guidage précis. La saisie d’adresses est aisée.
Comme les autres Coyote, le Nav profite de la communauté active (2,5 millions d’utilisateurs selon le fabricant), il devrait donc signaler les zones de dangers et les zones à risques avec la même justesse. Pratique, ces alertes peuvent être signalées, confirmées ou annulées par l’utilisateur grâce au système de reconnaissance vocale de l’appareil. Les limitations de vitesse, y compris les ponctuelles (travaux, pollution…), sont mises à jours en temps réel.
L’affichage des alertes est clair, mais trop intrusif sur l’écran de navigation. À l’approche d’une zone de danger (ralentissement, travaux, accident, radar…), un volet de notification se déploie à partir de la droite jusqu’à la moitié de l’écran. La navigation visuelle est alors occultée, reste le guidage vocal. Mais attention, aucun itinéraire alternatif n’est proposé au conducteur.
Le Nav embarque par ailleurs un indicateur de l’état du trafic en temps réel sur l’itinéraire, un service d’information dynamique pour les parkings (ouverture, places disponibles,..) et les stations-service (ouverture, disponibilité et prix du carburant) vient compléter les alertes. Ces dernières données sont fournies par un prestataire « certifié » et ne sont pas constituées de données d’utilisateurs.
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