Le nord du Maroc, plus précisément la ville de Tanger, devient un véritable pôle d'attraction pour les équipementiers du secteur automobile. Une tendance de plus en plus confirmée depuis le démarrage des travaux liés au projet Renault.
Parmi les derniers équipementiers arrivés en date, le français "Snop Dunois", expert en emboutissage de pièces métalliques. Un investissement d'environ 300 Millions de Dhs qui devrait pouvoir générer quelques 300 emplois. Par ailleurs, d'autres fournisseurs, liés de près ou de loin à Renault devraient investir dans cette zone de la région, comme cela a été le cas pour Denzo, par exemple.
Pourtant, cette région du Maroc est convoitée par les équipementiers depuis le début des années 1990, même si la première implantation officielle n'a eu lieu que vers la fin de cette décennie, avec le groupe américain Delphi qui inaugurait sa première usine à Tanger en 1999. Depuis, d'autres géants du secteurs automobiles se sont installés au Maroc, à Tanger mais aussi à Kénitra Automotive City : Yazaki, Lear Automotive, Volkswagen Bordnetze, Sunviauto et Polydesign.
Selon l'économiste, cet attrait s'explique par le fait que le nord du Maroc constitue une excellente alternative pour les centres d'assemblage situés au sud de l'Europe. A 48 heures (par la route) des principales usines espagnoles et à moins de 72 heures des usines de France, c'est en tout un ensemble de 28 usines d'assemblages qui se concentrent sur ces tronçons de prédilection. D'ici 4 ans, ces usines devraient représenter un chiffre d'affaires en achats d'équipements supérieur à 54 milliards d'euros, d'après le département de l'Industrie. Le Royaume pourrait drainer pas loin de 14 milliards d'euros de fournitures diverses de cette manne.
Parmi les derniers équipementiers arrivés en date, le français "Snop Dunois", expert en emboutissage de pièces métalliques. Un investissement d'environ 300 Millions de Dhs qui devrait pouvoir générer quelques 300 emplois. Par ailleurs, d'autres fournisseurs, liés de près ou de loin à Renault devraient investir dans cette zone de la région, comme cela a été le cas pour Denzo, par exemple.Pourtant, cette région du Maroc est convoitée par les équipementiers depuis le début des années 1990, même si la première implantation officielle n'a eu lieu que vers la fin de cette décennie, avec le groupe américain Delphi qui inaugurait sa première usine à Tanger en 1999. Depuis, d'autres géants du secteurs automobiles se sont installés au Maroc, à Tanger mais aussi à Kénitra Automotive City : Yazaki, Lear Automotive, Volkswagen Bordnetze, Sunviauto et Polydesign.
Selon l'économiste, cet attrait s'explique par le fait que le nord du Maroc constitue une excellente alternative pour les centres d'assemblage situés au sud de l'Europe. A 48 heures (par la route) des principales usines espagnoles et à moins de 72 heures des usines de France, c'est en tout un ensemble de 28 usines d'assemblages qui se concentrent sur ces tronçons de prédilection. D'ici 4 ans, ces usines devraient représenter un chiffre d'affaires en achats d'équipements supérieur à 54 milliards d'euros, d'après le département de l'Industrie. Le Royaume pourrait drainer pas loin de 14 milliards d'euros de fournitures diverses de cette manne.
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