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Nouvelle Mini : Mini changements ?
Modifications esthétiques timides
Forte de ses cinq années de succès, la Mini s'apprête à céder sa place à une nouvelle génération qui fera son premier bain de foule fin septembre à l'occasion du Mondial de l'Automobile de Paris. Il ne s'agit pas d'un restylage, malgré les apparences, mais bien d'un tout nouveau véhicule qui remplacera l'actuel. Sur le plan esthétique, cette affirmation est difficile à justifier puisque les modifications se font très discrètes. En effet, malgré la progression de son gabarit qui prend 6 cm en longueur, les évolutions ne sautent pas aux yeux, la marque ayant en outre laissé encore masqués certains détails à l'aide de morceaux d'adhésif... C'est plutôt à l'intérieur qu'il faut chercher les nouveautés. Les buses d'aérations sont à présent excentrées, des inserts décoratifs ont été ajoutés, le navigateur (en option) migre sur le compteur central et le démarrage s'effectue d'une pression sur un bouton Start/Stop.
Forte de ses cinq années de succès, la Mini s'apprête à céder sa place à une nouvelle génération qui fera son premier bain de foule fin septembre à l'occasion du Mondial de l'Automobile de Paris. Il ne s'agit pas d'un restylage, malgré les apparences, mais bien d'un tout nouveau véhicule qui remplacera l'actuel. Sur le plan esthétique, cette affirmation est difficile à justifier puisque les modifications se font très discrètes. En effet, malgré la progression de son gabarit qui prend 6 cm en longueur, les évolutions ne sautent pas aux yeux, la marque ayant en outre laissé encore masqués certains détails à l'aide de morceaux d'adhésif... C'est plutôt à l'intérieur qu'il faut chercher les nouveautés. Les buses d'aérations sont à présent excentrées, des inserts décoratifs ont été ajoutés, le navigateur (en option) migre sur le compteur central et le démarrage s'effectue d'une pression sur un bouton Start/Stop.
2 nouveaux moteurs
Ces simples modifications stylistiques n'auraient sans doutes pas suffi à faire de cette seconde génération de " Mini by BMW " une nouveauté à part entière. Le constructeur s'est donc chargé d'équiper sa petite dernière de deux nouvelles motorisations, destinés aux versions Cooper et Cooper S. Ils sont tout les deux issus du 1.6 conçu par BMW et PSA. Le premier en sera une version atmosphérique développant 120 chevaux à 6 000 tr/min. Le second, plus radical, est une version turbocompressée à injection directe du même 4 cylindres, proposant 175 ch. Ces nouveaux moteurs jouiront de consommations en baisse de 12,5 à 20 %. Une nouvelle version diesel fera son apparition par la suite. Notons que toutes les versions seront dorénavant équipées d'une boite 6 rapports. Mini en profite aussi pour mettre sa petite citadine aux normes en matière de crash-test, de consommation et d'émission de CO². Si nous regretterons tout de même les évolutions de carrosserie franchement discrètes, cette nouvelle Mini devrait sans mal perpétuer le succès de sa devancière, même si ses tarifs, qui s'annoncent assez épicés, n'ont pas encore été révélés.
Ces simples modifications stylistiques n'auraient sans doutes pas suffi à faire de cette seconde génération de " Mini by BMW " une nouveauté à part entière. Le constructeur s'est donc chargé d'équiper sa petite dernière de deux nouvelles motorisations, destinés aux versions Cooper et Cooper S. Ils sont tout les deux issus du 1.6 conçu par BMW et PSA. Le premier en sera une version atmosphérique développant 120 chevaux à 6 000 tr/min. Le second, plus radical, est une version turbocompressée à injection directe du même 4 cylindres, proposant 175 ch. Ces nouveaux moteurs jouiront de consommations en baisse de 12,5 à 20 %. Une nouvelle version diesel fera son apparition par la suite. Notons que toutes les versions seront dorénavant équipées d'une boite 6 rapports. Mini en profite aussi pour mettre sa petite citadine aux normes en matière de crash-test, de consommation et d'émission de CO². Si nous regretterons tout de même les évolutions de carrosserie franchement discrètes, cette nouvelle Mini devrait sans mal perpétuer le succès de sa devancière, même si ses tarifs, qui s'annoncent assez épicés, n'ont pas encore été révélés.
Seat Leon Cupra : rebelle ibère
La corrida reprend de plus belle
Après un teasing finement orchestré dévoilant une petite partie de son nouveau porte drapeau sportif caché sous un voile, Seat présente enfin sa nouvelle génération de compacte survoltée. Concurrente directe des Renault Mégane RS, Ford Focus ST (affichant toutes les deux 225 ch) et Opel Astra OPC (240 ch), la Leon Cupra emploie une version portée à 240 ch et 330 Nm de couple du 4 cylindres turbo de la version FR et de la Golf GTI, dont les 200 ch paraissent bien maigres à côté. C'est plutôt la version R32 de la Golf qui pourrait se frotter à elle avec ses 250 ch tirés... d'un V6 ! Ainsi dotée, la Leon expédie le 0 à 100 km/h en 6,4 secondes, soit une demie seconde de gagnée sur l'ancienne génération qui offrait 225 ch via un 1.8T. La vitesse de pointe est quant à elle portée à 247 km/h (sur circuit) tandis que le 1000 mètres départ arrêté tombe en 26,4s. Côté châssis, Seat a raffermi les suspensions, rigidifié la caisse et réduit le poids de l'auto. Les freins ont été revus en conséquence, avec des disques ventilés de 345 mm à l'avant et 248 mm à l'arrière. Ils sont mordus par des étriers rouges abrités dans des roues de 18 pouces.
Moins de débauche sur le look
Le design de la Leon Cupra est lui aussi quelque peu rectifié mais sans ne la distingue pas énormément au final de la version FR placée juste en dessous. Les boucliers avant et arrière, bien ajourés, sont toutefois spécifiques, tout comme les rétroviseurs noirs et l'unique sortie d'échappement ovale (double sur la FR). A l'intérieur le noir prédomine, à l'exception des compteurs à fond blanc et du pédalier façon aluminium. Des sièges baquets Recaro sont naturellement de la partie La commercialisation de cette nouvelle Leon Cupra interviendra au mois d'août, on connaîtra à ce moment les prix du modèle.
Le design de la Leon Cupra est lui aussi quelque peu rectifié mais sans ne la distingue pas énormément au final de la version FR placée juste en dessous. Les boucliers avant et arrière, bien ajourés, sont toutefois spécifiques, tout comme les rétroviseurs noirs et l'unique sortie d'échappement ovale (double sur la FR). A l'intérieur le noir prédomine, à l'exception des compteurs à fond blanc et du pédalier façon aluminium. Des sièges baquets Recaro sont naturellement de la partie La commercialisation de cette nouvelle Leon Cupra interviendra au mois d'août, on connaîtra à ce moment les prix du modèle.
Ford Focus CC : le coupé-cabriolet de... la rentré
La première Focus à ciel ouvert
Absent jusqu'ici du marché des Cabriolet à toit rigide repliable, le constructeur Ford remédie à cette lacune en introduisant une version Coupé Cabriolet de sa Focus pour rattraper les rivales de Peugeot (307 CC), Renault (Mégane CC), Opel (Astra TwinTop) et VW (Eos). Imposant, ce modèle affiche un bon 4,50m de long. De quoi augure de l'espace à bord. Et dans le coffre aussi, qui avec ses 534 litres toit en place et 248 litres toit rabattu, contre 490 à 190 litres pour la Mégane, s'adjuge des valeurs très flatteuses.
La griffe Pininfarina
Esthétiquement, la Focus n'a rien à envier à ses concurrentes. Son style, étudié en collaboration avec Pininfarina, reprend pour beaucoup à l'avant celui de la très sportive Focus ST. L'arrière, ne pouvant disposer des feux tout en longueur de la berline, est assez original et simple, un peu trop peut-être par rapport à l'avant beaucoup plus dynamique. A l'intérieur, on retrouve l'ambiance de l'habitacle de la Focus, le tableau de bord est en outre le même mais s'affiche dans des teintes spécifiques
Pas de nouveaux moteurs
Au menu des motorisations, nous trouvons le plus puissant des diesel de la gamme Focus berline à savoir le 2.0 TDCi de 136 chevaux à filtre à particules, offrant un couple maximum de 320 Nm. 2 blocs essence Duratec sont également de la partie avec le 2.0 de 145 chevaux et 180 Nm de couple et le plus petit 1.6 de 100 chevaux. Pas de nouvelles motorisations au programme donc, mais des blocs qui ont déjà fait leurs preuves. Du côté du châssis, tout à été mis en oeuvre pour que le CC dispose d'une rigidité exemplaire et fasse preuve d'un comportement très dynamique. Ainsi, certains éléments ont été empruntés à la Forcus ST telles que les suspensions arrières, ou la traverse additionnelle. La très attendue Ford Focus CC sera commercialisée dans la foulée du salon de la Porte de Versailles, où elle déploiera à volonté - en 29 secondes - son toit rétractable.
Absent jusqu'ici du marché des Cabriolet à toit rigide repliable, le constructeur Ford remédie à cette lacune en introduisant une version Coupé Cabriolet de sa Focus pour rattraper les rivales de Peugeot (307 CC), Renault (Mégane CC), Opel (Astra TwinTop) et VW (Eos). Imposant, ce modèle affiche un bon 4,50m de long. De quoi augure de l'espace à bord. Et dans le coffre aussi, qui avec ses 534 litres toit en place et 248 litres toit rabattu, contre 490 à 190 litres pour la Mégane, s'adjuge des valeurs très flatteuses.
La griffe Pininfarina
Esthétiquement, la Focus n'a rien à envier à ses concurrentes. Son style, étudié en collaboration avec Pininfarina, reprend pour beaucoup à l'avant celui de la très sportive Focus ST. L'arrière, ne pouvant disposer des feux tout en longueur de la berline, est assez original et simple, un peu trop peut-être par rapport à l'avant beaucoup plus dynamique. A l'intérieur, on retrouve l'ambiance de l'habitacle de la Focus, le tableau de bord est en outre le même mais s'affiche dans des teintes spécifiques
Pas de nouveaux moteurs
Au menu des motorisations, nous trouvons le plus puissant des diesel de la gamme Focus berline à savoir le 2.0 TDCi de 136 chevaux à filtre à particules, offrant un couple maximum de 320 Nm. 2 blocs essence Duratec sont également de la partie avec le 2.0 de 145 chevaux et 180 Nm de couple et le plus petit 1.6 de 100 chevaux. Pas de nouvelles motorisations au programme donc, mais des blocs qui ont déjà fait leurs preuves. Du côté du châssis, tout à été mis en oeuvre pour que le CC dispose d'une rigidité exemplaire et fasse preuve d'un comportement très dynamique. Ainsi, certains éléments ont été empruntés à la Forcus ST telles que les suspensions arrières, ou la traverse additionnelle. La très attendue Ford Focus CC sera commercialisée dans la foulée du salon de la Porte de Versailles, où elle déploiera à volonté - en 29 secondes - son toit rétractable.
Opel Corsa OPC: Une rivale pour la Clio RS et la 207
La sage citadine s’encanaille avec un 1.6 turbo qui annonce 192 ch, de quoi affoler les chronos puisque l’Allemande ne réclame plus que 7,2 s pour passer de 0 à 100 km/h (7,1 s pour une 207 RC et 6,9 s pour une Clio RS). Côté vitesse maxi, cette bombinette annonce 225 km/h. Le couple de 230 Nm passe sur les roues avant via par une boîte manuelle à six vitesses. Et pour ceux qui trouvent que ce n’est passez, une version « overboost » augmente momentanément le couple de 15 % pour passer à 266 Nm. En détail, le châssis qui, sur la version « civile », manque de rigueur, a été revu en profondeur. L’essieu arrière a été raidi ce qui permet de réduire le roulis de 25 %, la course des amortisseurs a été revue et l’assiette générale de la voiture a été abaissée de 15 mm. Fort heureusement, l’auto reçoit un ESP déconnectable.
Intérieur spécifique
De série, l’OPC repose sur des roues de 17 pouces et peut recevoir en option des jantes de 18 pouces. Le freinage a été lui aussi renforcé, la Corsa OPC héritant de disques avant ventilés de 308 mm et de disques pleins à l’arrière de 264 mm. Question design, Opel marque sérieusement le coup avec un généreux spoiler avant, d’imposantes jupes et un diffuseur à l’arrière intégrant une sortie d’échappement triangulaire. Même esprit dans l’habitacle : volant en cuir à méplat avec anneau de repère sur sa partie supérieure, pédales en alu et sièges Recaro. Bref, la Corsa OPC est prête à bondir. Les radars aussi !
Intérieur spécifique
De série, l’OPC repose sur des roues de 17 pouces et peut recevoir en option des jantes de 18 pouces. Le freinage a été lui aussi renforcé, la Corsa OPC héritant de disques avant ventilés de 308 mm et de disques pleins à l’arrière de 264 mm. Question design, Opel marque sérieusement le coup avec un généreux spoiler avant, d’imposantes jupes et un diffuseur à l’arrière intégrant une sortie d’échappement triangulaire. Même esprit dans l’habitacle : volant en cuir à méplat avec anneau de repère sur sa partie supérieure, pédales en alu et sièges Recaro. Bref, la Corsa OPC est prête à bondir. Les radars aussi !
Daihatsu Trevis : au Mondial, et bientôt dans les rues
Quel mignon minois
La Trevis a déjà bien fait parler d'elle lors de ses apparitions en public avec sa bouille craquante évoquant autant la première Mini qu'une compression de taxi londonien. On la connaît notamment depuis le concept XL-C qui la dévoilait à 90% en 2004. Sa présence au Mondial de Paris sonne enfin son plongeon dans le grand bain des citadines coquettes, celles que l'on choisit avant tout pour leur minois. Lancia Ypsilon, nouvelle Mini, Suzuki Swift, et Twingo 2 seront donc les copines de jeux ce cette nippone, connue dans son pays d'origine sous le nom très chantant de "Mira Gino", et déjà commercialisée en Allemagne. Pratique avec ses 4 portes et longue de seulement 3,39 m pour 1,47 m de large, elle n'en oublie pas pour autant ses passagers. L'habitacle, convivial et lui aussi aux forts accents de Mini (version moderne) intègre de grands cadrans circulaires, de pratiques rangements et un sympathique volant 3 branches signé Momo.
Un petit 3 cylindres sous le capot
Sous le petit capot loge un 3 cylindres essence de 1 litre (989 cm3) à calage variable des soupapes développant 58 ch et 91 Nm de couple. Bien suffisant en ville, il l'emmène en outre de 0 à 100 km/h en 12,2s et lui permet d'atteindre 160 km/h en pointe. Particulièrement sobre, il se contente de 4,8 l/100 km en moyenne et la gratifie d'un taux de rejets de CO2 de 114 g/km. Pour vous faire une meilleure idée de ce charmant modèle, rendez-vous sur le stand Daihatsu du Mondial de l'Auto (30 sept-15 oct) !
La Trevis a déjà bien fait parler d'elle lors de ses apparitions en public avec sa bouille craquante évoquant autant la première Mini qu'une compression de taxi londonien. On la connaît notamment depuis le concept XL-C qui la dévoilait à 90% en 2004. Sa présence au Mondial de Paris sonne enfin son plongeon dans le grand bain des citadines coquettes, celles que l'on choisit avant tout pour leur minois. Lancia Ypsilon, nouvelle Mini, Suzuki Swift, et Twingo 2 seront donc les copines de jeux ce cette nippone, connue dans son pays d'origine sous le nom très chantant de "Mira Gino", et déjà commercialisée en Allemagne. Pratique avec ses 4 portes et longue de seulement 3,39 m pour 1,47 m de large, elle n'en oublie pas pour autant ses passagers. L'habitacle, convivial et lui aussi aux forts accents de Mini (version moderne) intègre de grands cadrans circulaires, de pratiques rangements et un sympathique volant 3 branches signé Momo.
Un petit 3 cylindres sous le capot
Sous le petit capot loge un 3 cylindres essence de 1 litre (989 cm3) à calage variable des soupapes développant 58 ch et 91 Nm de couple. Bien suffisant en ville, il l'emmène en outre de 0 à 100 km/h en 12,2s et lui permet d'atteindre 160 km/h en pointe. Particulièrement sobre, il se contente de 4,8 l/100 km en moyenne et la gratifie d'un taux de rejets de CO2 de 114 g/km. Pour vous faire une meilleure idée de ce charmant modèle, rendez-vous sur le stand Daihatsu du Mondial de l'Auto (30 sept-15 oct) !
Daihatsu Trevis : au Mondial, et bientôt dans les rues
Quel mignon minois
La Trevis a déjà bien fait parler d'elle lors de ses apparitions en public avec sa bouille craquante évoquant autant la première Mini qu'une compression de taxi londonien. On la connaît notamment depuis le concept XL-C qui la dévoilait à 90% en 2004. Sa présence au Mondial de Paris sonne enfin son plongeon dans le grand bain des citadines coquettes, celles que l'on choisit avant tout pour leur minois. Lancia Ypsilon, nouvelle Mini, Suzuki Swift, et Twingo 2 seront donc les copines de jeux ce cette nippone, connue dans son pays d'origine sous le nom très chantant de "Mira Gino", et déjà commercialisée en Allemagne. Pratique avec ses 4 portes et longue de seulement 3,39 m pour 1,47 m de large, elle n'en oublie pas pour autant ses passagers. L'habitacle, convivial et lui aussi aux forts accents de Mini (version moderne) intègre de grands cadrans circulaires, de pratiques rangements et un sympathique volant 3 branches signé Momo.
Un petit 3 cylindres sous le capot
Sous le petit capot loge un 3 cylindres essence de 1 litre (989 cm3) à calage variable des soupapes développant 58 ch et 91 Nm de couple. Bien suffisant en ville, il l'emmène en outre de 0 à 100 km/h en 12,2s et lui permet d'atteindre 160 km/h en pointe. Particulièrement sobre, il se contente de 4,8 l/100 km en moyenne et la gratifie d'un taux de rejets de CO2 de 114 g/km. Pour vous faire une meilleure idée de ce charmant modèle, rendez-vous sur le stand Daihatsu du Mondial de l'Auto (30 sept-15 oct) !
La Trevis a déjà bien fait parler d'elle lors de ses apparitions en public avec sa bouille craquante évoquant autant la première Mini qu'une compression de taxi londonien. On la connaît notamment depuis le concept XL-C qui la dévoilait à 90% en 2004. Sa présence au Mondial de Paris sonne enfin son plongeon dans le grand bain des citadines coquettes, celles que l'on choisit avant tout pour leur minois. Lancia Ypsilon, nouvelle Mini, Suzuki Swift, et Twingo 2 seront donc les copines de jeux ce cette nippone, connue dans son pays d'origine sous le nom très chantant de "Mira Gino", et déjà commercialisée en Allemagne. Pratique avec ses 4 portes et longue de seulement 3,39 m pour 1,47 m de large, elle n'en oublie pas pour autant ses passagers. L'habitacle, convivial et lui aussi aux forts accents de Mini (version moderne) intègre de grands cadrans circulaires, de pratiques rangements et un sympathique volant 3 branches signé Momo.
Un petit 3 cylindres sous le capot
Sous le petit capot loge un 3 cylindres essence de 1 litre (989 cm3) à calage variable des soupapes développant 58 ch et 91 Nm de couple. Bien suffisant en ville, il l'emmène en outre de 0 à 100 km/h en 12,2s et lui permet d'atteindre 160 km/h en pointe. Particulièrement sobre, il se contente de 4,8 l/100 km en moyenne et la gratifie d'un taux de rejets de CO2 de 114 g/km. Pour vous faire une meilleure idée de ce charmant modèle, rendez-vous sur le stand Daihatsu du Mondial de l'Auto (30 sept-15 oct) !
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